C'est sans parler des entreprises de transports qui se sont rester bloquer aux années 70, pas moyen de se faire recharger là climatisation par exemple, les pneus usée jusqu'à la corde, les vidanges faite à des intervalles complètement absurde, du matériel ayant pratiquement participé à la bataille des Ardennes, j'en passe et des meilleurs.
Le climat de travail est détestable dans ce job, je serait curieux de savoir combien de personne former à l'année à ce métier y reste réellement, ça ne doit pas faire bien lourd, le stress est omniprésent, la course perpétuel, le tout sur ton dos bien entendu, si tu as le malheur de dépasser là vitesse autorisé le patron te dénonce sans aucune retenu alors que aucun texte de loi n'existe en France pour obligé quelqu'un à dénoncé qui que ce sois, ont se croirais revenu au temps du tonton Adolf et de là gestapo.
Il n'y a pas plus hypocrite qu'un patron il te donne le boulot sans tenir compte de la vitesse à laquelle tu va être obliger de rouler pour faire le boulot, ensuite au moindre soucis c'est la dénonciation avec tous les problèmes qui en découle, si tu respecte là vitesse tu ne veut pas travailler et tu passe pour un fainéant or tu cherche juste à te préserver des amendes, jamais payer par les employeurs qu'en il s'agit de la vitesse, ironie du sort c'est eux qui t'on demander que le boulot sois fait, ensuite il faut bien entendu aussi entendre que si par exemple trois tours ne sont pas fait ce n'est pas rentable, ce qui prouve bien et sous entend que le boulot ne paye pas et que c'est sur le dos du chauffeur que la rentabilité doit se faire, quitte à lui faire prendre des risques parfois complètement inconsidérés.
Alors en effet il en faut des nerfs solide comme des câbles d'acier pour faire ce boulot, il faut vraiment le vouloir car ont est la dernière de m............ tant au niveau salaire qu'au niveau respect que ce sois chez les clients ou au yeux des employeurs, si on y rajoute un salaire de misère que même une femme de ménage débutante gagne surement plus que nous il y a de quoi pleurer à chaudes larmes.
Je déconseillerais à qui que ce sois de se lancer dans se métier.