Ils en dorment mal. Et ils n'en peuvent plus. Daniel Ulrych et Hajo Spoerhase sont voisins. Ils habitent, depuis 7 ans, au bas de la route d'Armes, non loin du rond-point à l'entrée du pont de Bethléem. Et ils supportent de moins en moins les affres de la circulation. Le trafic des camions en hausse constante. Le bruit infernal, parfois dès 4 heures du matin. Les deux-roues qui pétaradent. Et la vitesse des véhicules, qui dépasse allègrement les 50 km\h autorisés.
« C'est dangereux. Il y a de nombreux jeunes qui marchent sur les trottoirs pour aller au collège et au lycée. Des personnes âgées qui habitent dans le quartier. Parfois, on n'ose plus traverser. L'accident grave va finir par arriver », déplore Daniel Ulrych. « Il faut une centaine de mètres à un camion de 35 tonnes pour s'arrêter. Un chauffeur serait incapable de freiner en urgence si quelqu'un traversait la route subitement », ajoute Hajo Spoerhase.
Et puis, il y a le mauvais état de la chaussée. « Lorsqu'un camion arrive à vide, sa benne métallique fait un raffut insupportable en passant sur les nid-de-de poule. Nous ressentons les vibrations jusque dans la maison. Et ces poids lourds détériorent la route, tout comme les engins agricoles. Ils n'ont pas d'autres endroits où passer », ajoutent les deux voisins.
L'effet pervers des feux
Trop, c'est trop. Ils ont frappé à la porte des résidants de la route d'Armes, pour faire tourner une pétition. Vingt-six personnes, de vingt et une adresses différentes, l'ont signée. Le document a été envoyé à la mairie de Clamecy, à la Direction départementale des territoires (DDT) de la Nièvre et à la gendarmerie de Clamecy. Les protestataires réclament, d'une part, la rénovation de la chaussée et d'autre part, la limitation de la vitesse à 30 km\h sur cet axe à l'entrée de Clamecy. « Avec un radar ou une présence accrue des gendarmes afin de faire respecter cette limitation », appuient-ils.
Leur cri d'alerte ne surprendra personne. Et surtout pas les élus locaux. En septembre 2012, le conseil municipal avait voté une motion s'opposant au projet de carrière à Asnières-sous-Bois (Yonne) susceptible d'augmenter le trafic de poids lourds route d'Armes. Une partie de la chaussée a été refaite, du côté du collège, où des ralentisseurs ont été aménagés. Et des feux tricolores, chargés de ralentir les conducteurs trop pressés, ont été installés. Ces mesures semblent insuffisantes pour juguler les effets néfastes d'une circulation toujours croissante, sur un axe où passent les transporteurs qui font la liaison entre Avallon et Auxerre ou Bourges.
Un projet de contournement est dans les cartons, depuis plus de dix ans (lire ci-dessus). Mais il n'est pas prêt de sortir de terre. Et qu'il faudra se tourner vers des actions plus locales pour tenter de redonner de la tranquillité au quartier.
Le jdc.fr
Je connais bien cette route, j'y suis passer souvent et je doit dire que ce n'est pas de gaité de coeur que j'y passe, la route est défoncer et les ralentisseurs au niveau du collège ne font qu'empiré le bruit avec les bennes qu'en nous somment à vide, de plus les feux tricolores n'aides pas non plus car qu'en il faut redémarrer en charge cela fait encore plus de bruit.
Pour la traversée d'Armes un nouveau revêtement ne serait pas du luxe et pour les deux traversées celle de Clamecy et d'Armes un contournement serait l'idéal pour tout le monde, chacun serait plus en sécurité, les habitants comme les chauffeurs devant passer par là par défaut d'un autre itinéraire, il y a toujours moyen de passé par RN6 et de rejoindre la Nièvres par Asquin, St Père et via Corbigny mais la route n'est pas large et elle est très sinueuse, de plus à la sortie de St Père c'est tellement étroit et dans un virage que l'ont ne peut distingué si un véhicule arrive par la gauche et la traversé de Vézelay n'est pas un cadeau non plus.
Une fois encore ont est en droit de se demander ce qu'attendent les politiques pour réagir, faudra il un accident mortel pour que enfin le projet de contournement voie le jour ?
« C'est dangereux. Il y a de nombreux jeunes qui marchent sur les trottoirs pour aller au collège et au lycée. Des personnes âgées qui habitent dans le quartier. Parfois, on n'ose plus traverser. L'accident grave va finir par arriver », déplore Daniel Ulrych. « Il faut une centaine de mètres à un camion de 35 tonnes pour s'arrêter. Un chauffeur serait incapable de freiner en urgence si quelqu'un traversait la route subitement », ajoute Hajo Spoerhase.
Et puis, il y a le mauvais état de la chaussée. « Lorsqu'un camion arrive à vide, sa benne métallique fait un raffut insupportable en passant sur les nid-de-de poule. Nous ressentons les vibrations jusque dans la maison. Et ces poids lourds détériorent la route, tout comme les engins agricoles. Ils n'ont pas d'autres endroits où passer », ajoutent les deux voisins.
L'effet pervers des feux
Trop, c'est trop. Ils ont frappé à la porte des résidants de la route d'Armes, pour faire tourner une pétition. Vingt-six personnes, de vingt et une adresses différentes, l'ont signée. Le document a été envoyé à la mairie de Clamecy, à la Direction départementale des territoires (DDT) de la Nièvre et à la gendarmerie de Clamecy. Les protestataires réclament, d'une part, la rénovation de la chaussée et d'autre part, la limitation de la vitesse à 30 km\h sur cet axe à l'entrée de Clamecy. « Avec un radar ou une présence accrue des gendarmes afin de faire respecter cette limitation », appuient-ils.
Leur cri d'alerte ne surprendra personne. Et surtout pas les élus locaux. En septembre 2012, le conseil municipal avait voté une motion s'opposant au projet de carrière à Asnières-sous-Bois (Yonne) susceptible d'augmenter le trafic de poids lourds route d'Armes. Une partie de la chaussée a été refaite, du côté du collège, où des ralentisseurs ont été aménagés. Et des feux tricolores, chargés de ralentir les conducteurs trop pressés, ont été installés. Ces mesures semblent insuffisantes pour juguler les effets néfastes d'une circulation toujours croissante, sur un axe où passent les transporteurs qui font la liaison entre Avallon et Auxerre ou Bourges.
Un projet de contournement est dans les cartons, depuis plus de dix ans (lire ci-dessus). Mais il n'est pas prêt de sortir de terre. Et qu'il faudra se tourner vers des actions plus locales pour tenter de redonner de la tranquillité au quartier.
Le jdc.fr
Je connais bien cette route, j'y suis passer souvent et je doit dire que ce n'est pas de gaité de coeur que j'y passe, la route est défoncer et les ralentisseurs au niveau du collège ne font qu'empiré le bruit avec les bennes qu'en nous somment à vide, de plus les feux tricolores n'aides pas non plus car qu'en il faut redémarrer en charge cela fait encore plus de bruit.
Pour la traversée d'Armes un nouveau revêtement ne serait pas du luxe et pour les deux traversées celle de Clamecy et d'Armes un contournement serait l'idéal pour tout le monde, chacun serait plus en sécurité, les habitants comme les chauffeurs devant passer par là par défaut d'un autre itinéraire, il y a toujours moyen de passé par RN6 et de rejoindre la Nièvres par Asquin, St Père et via Corbigny mais la route n'est pas large et elle est très sinueuse, de plus à la sortie de St Père c'est tellement étroit et dans un virage que l'ont ne peut distingué si un véhicule arrive par la gauche et la traversé de Vézelay n'est pas un cadeau non plus.
Une fois encore ont est en droit de se demander ce qu'attendent les politiques pour réagir, faudra il un accident mortel pour que enfin le projet de contournement voie le jour ?